II faut choisir : ça dure ou ça brûle ; le drame, c'est que ça ne puisse pas à la fois durer et brûler. Albert Camus
I phil good !
Dimanche 16 Juillet 2023
Frédéric Vayr, ophtalmologiste et artiste, hisse le braille en un art calligraphique et synesthésique, afin de rapprocher le monde du visible à celui de l'invisible et sensibiliser les personnes voyantes à une peinture tactile. Ce qui nous rappelle instantanément "la lettre du voyant" d'Arthur Rimbaud et "L'oeil et l'esprit" de Merleau-Ponty, ouvrage dans lequel le philosophe interroge le sens de la perception visuelle et la peinture.
« Je dis qu'il faut être voyant, se faire voyant.
Le poète se fait voyant par un long, immense et raisonné dérèglement de tous les sens. »
Arthur Rimbaud
Que signifie être voyant ?
L’art n’est-il pas le plus puissant prisme pour caresser la vraie réalité ?
(Initiales d'Arthur Rimbaud en braille, par F. Vayr)
Le poète se fait voyant par un long, immense et raisonné dérèglement de tous les sens. »
Arthur Rimbaud
Que signifie être voyant ?
L’art n’est-il pas le plus puissant prisme pour caresser la vraie réalité ?
(Initiales d'Arthur Rimbaud en braille, par F. Vayr)
Lorsque Merleau-Ponty écrit que la peinture n’évoque rien, et notamment pas le tactile, cela sonne faux au regard du travail artistique de Frédéric Vayr ophtalmologiste et artiste, hissant le braille en un art calligraphique et synesthésique. Frédéric Vayr se joue d’une peinture tactile et paradoxale pour offrir une autre perception aux personnes bien voyantes. La vision est un miroir. Et la lumière, une action, une action tactile qui nous effleure. Spécialisé dans les anomalies de la vision, Frédéric Vayr propose une écriture plastique conceptuelle autour de la perception visuelle. Il représente le code braille dans toutes les matières : verre, miroir, toile, cuir et papier. Un brin provocateur, F. Vayr appelle sa première exposition « A la lumière du braille ». Les aveugles, écrivait Descartes, voient des mains. Le modèle cartésien de la vision est le toucher. Merleau-Ponty défendait une perception du monde d’avant la connaissance : "un cartésien peut croire que le monde existant n'est pas visible, que la seule lumière est d'esprit", or, "un peintre ne peut consentir que notre ouverture au monde soit illusoire ou indirecte, que ce que nous voyons ne soit pas le monde même"(M. Merleau-Ponty, L'œil et l'esprit, Edition Folioplus, chapitre 4, p. 56.) .
Dès lors, qu’est-ce « voir » ?
Un acte apparemment banal mais qui est loin d’être exploré à sa juste valeur.
Dès lors, qu’est-ce « voir » ?
Un acte apparemment banal mais qui est loin d’être exploré à sa juste valeur.
L’énigme tient en ceci que notre corps est à la fois voyant et visible.
« Au-delà du sens philosophique de la notion de voir, il y a un autre aspect, plus scientifique, analysé, expérimenté et développé par Jules Romains (La vision extra-rétinienne et le sens paroptique, Jules Romains, Gallimard), c'est voir au travers de la peau !... Ce constat scientifique a été malheureusement inexploité ou si peu, nous explique F. Vayr. Tout ce qui touche à la lumière, détient une part de sublime, de magique, de mystique qui permet d'élever nos esprits au-delà de ce qui est vu ou pas dans notre espace visuel matériel, lui-même soumis au biais majeur de toute perception et de son interprétation. C'est un sujet sans limites 'visibles" qui nous rapproche au plus vite (300 000 km/s) de notre origine et qui nous propulse à la même vitesse vers notre futur, fini ou infini. »
Est-il possible de voir à travers la peau ?
La lumière reste dans tous les cas la clé, visuelle ou tactile qui permet à travers la création poétique d’ouvrir un dialogue entre le monde des voyants et des non-voyants. Ce qui rejoint un des concepts de Merleau-Ponty sur le visible et l’invisible selon lequel l'invisible est déjà présent dans le visible et que la perception ne peut pas être réduite à une simple captation visuelle. Il est nécessaire d’explorer les différentes couches de sens qui se déploient à travers notre perception globale.
« Au-delà du sens philosophique de la notion de voir, il y a un autre aspect, plus scientifique, analysé, expérimenté et développé par Jules Romains (La vision extra-rétinienne et le sens paroptique, Jules Romains, Gallimard), c'est voir au travers de la peau !... Ce constat scientifique a été malheureusement inexploité ou si peu, nous explique F. Vayr. Tout ce qui touche à la lumière, détient une part de sublime, de magique, de mystique qui permet d'élever nos esprits au-delà de ce qui est vu ou pas dans notre espace visuel matériel, lui-même soumis au biais majeur de toute perception et de son interprétation. C'est un sujet sans limites 'visibles" qui nous rapproche au plus vite (300 000 km/s) de notre origine et qui nous propulse à la même vitesse vers notre futur, fini ou infini. »
Est-il possible de voir à travers la peau ?
La lumière reste dans tous les cas la clé, visuelle ou tactile qui permet à travers la création poétique d’ouvrir un dialogue entre le monde des voyants et des non-voyants. Ce qui rejoint un des concepts de Merleau-Ponty sur le visible et l’invisible selon lequel l'invisible est déjà présent dans le visible et que la perception ne peut pas être réduite à une simple captation visuelle. Il est nécessaire d’explorer les différentes couches de sens qui se déploient à travers notre perception globale.
La nuance est une richesse
On a tendance à chiffrer l’acuité visuelle, mais est-elle mesurable ? Tout comme l’intelligence, peut-elle se réduire à une échelle chiffrable telle que le QI ? F. Vayr interroge cette notion de valeur à travers son œuvre, ça vaut de l’or. Dans les 6 nuances du lingot d’or, il défend l’idée que la vraie richesse est la nuance et sensibiliser les « voyants » sur la puissance des sens.
« Le braille n'est qu'une approche en 3D permettant de "voir" par un "chemin sensoriel détourné" ce que seul l'obscur nous délivre, cet or, qui serait la pépite d'une lumière originelle, elle-même enfin libérée des parasites visuels que la lumière artificielle extrinsèque, éducative, morale, sociétale, politique etc., nous impose de prendre, à tort, comme source lumineuse inspirante.» (F. Vayr)
L’intrication lumineuse reste un mystère. Car même la lumière qui nous paraît être un concept univoque et lumineux a en fait une double nature sur le plan scientifique : mi-onde électromagnétique (spectre éternel sans limite de propagation), mi-particule élémentaire physique (photon qui serait l'unité matérielle).
On a tendance à chiffrer l’acuité visuelle, mais est-elle mesurable ? Tout comme l’intelligence, peut-elle se réduire à une échelle chiffrable telle que le QI ? F. Vayr interroge cette notion de valeur à travers son œuvre, ça vaut de l’or. Dans les 6 nuances du lingot d’or, il défend l’idée que la vraie richesse est la nuance et sensibiliser les « voyants » sur la puissance des sens.
« Le braille n'est qu'une approche en 3D permettant de "voir" par un "chemin sensoriel détourné" ce que seul l'obscur nous délivre, cet or, qui serait la pépite d'une lumière originelle, elle-même enfin libérée des parasites visuels que la lumière artificielle extrinsèque, éducative, morale, sociétale, politique etc., nous impose de prendre, à tort, comme source lumineuse inspirante.» (F. Vayr)
L’intrication lumineuse reste un mystère. Car même la lumière qui nous paraît être un concept univoque et lumineux a en fait une double nature sur le plan scientifique : mi-onde électromagnétique (spectre éternel sans limite de propagation), mi-particule élémentaire physique (photon qui serait l'unité matérielle).
Le pouvoir de la synesthésie : les couleurs prennent forme
F. Vayr fait le pari de relier deux sensorialités innées et tactiles, et crée ainsi des œuvres synesthésiques. A travers des œuvres de code braille, il rend même hommage à des auteurs renommés du XIXème siècle comme Georges Sand, Emile Zola et Arthur Rimbaud. Rimbaud, qui a su justement mettre en lumière la synesthésie poétique à travers ses voyelles : « A noir, E blanc, I rouge, U vert, O bleu : voyelles, ….»
Rappelons que le mot synesthésie vient du grec Syn (union) et Aísthêsis (sensibilité) et veut dire : perception simultanée. Isaac Newton a d’ailleurs étudié l’existence d’une loi physique qui met en relation les sept couleurs du spectre de la lumière avec les sept intervalles musicaux dans le système d’octave. Ainsi tout serait relié.
Il semblerait que dans certains salons littéraires du XIXème siècle, des personnes non voyantes ont été capables de discerner les couleurs par le toucher, ce qui nous fait toucher du doigt la puissance de la perception tactile.
Dans cette quête synesthésique et de reliance, F. Vayr a l’idée d’associer les couleurs aux formes des couleurs issues du braille. C’est un concept original qu’il dépose à l’INPI en 2019. Matérialiser la couleur par une forme géométrique est une façon de la rendre visible même dans le noir.
F. Vayr fait le pari de relier deux sensorialités innées et tactiles, et crée ainsi des œuvres synesthésiques. A travers des œuvres de code braille, il rend même hommage à des auteurs renommés du XIXème siècle comme Georges Sand, Emile Zola et Arthur Rimbaud. Rimbaud, qui a su justement mettre en lumière la synesthésie poétique à travers ses voyelles : « A noir, E blanc, I rouge, U vert, O bleu : voyelles, ….»
Rappelons que le mot synesthésie vient du grec Syn (union) et Aísthêsis (sensibilité) et veut dire : perception simultanée. Isaac Newton a d’ailleurs étudié l’existence d’une loi physique qui met en relation les sept couleurs du spectre de la lumière avec les sept intervalles musicaux dans le système d’octave. Ainsi tout serait relié.
Il semblerait que dans certains salons littéraires du XIXème siècle, des personnes non voyantes ont été capables de discerner les couleurs par le toucher, ce qui nous fait toucher du doigt la puissance de la perception tactile.
Dans cette quête synesthésique et de reliance, F. Vayr a l’idée d’associer les couleurs aux formes des couleurs issues du braille. C’est un concept original qu’il dépose à l’INPI en 2019. Matérialiser la couleur par une forme géométrique est une façon de la rendre visible même dans le noir.
Ces formes géométriques nous invitent à nous interroger sur ce qu’est une couleur : une vitesse, un rythme, une réflexion ?
Sur le plan scientifique, les couleurs sont des ondes électromagnétiques. Chaque couleur correspond à une certaine plage de longueur d'onde. C’est le processus de réflexion ou de transmission des différentes longueurs d'onde qui nous permet de percevoir les couleurs.
Ainsi les couleurs que nous percevons dépendent de la manière avec laquelle elles interagissent avec les objets qui nous entourent. Les formes des couleurs représentées par le braille semblent illustrer de façon poétique leur trajectoire. La couleur est mouvement.
A la lumière unilatérale de l'esprit cartésien, Merleau-Ponty opposait d’ailleurs la force multicolore du monde. Le philosophe fera sienne l'expression de Paul Cézanne "la couleur est le lieu où notre cerveau et l'univers se rejoignent". Les couleurs créent une harmonie du chaos. A la différence de la science qui manipule la nature, la peinture nous permet d'habiter les choses.
C’est ce que semble aussi exprimer la forme des couleurs de F. Vayr.
Sur le plan scientifique, les couleurs sont des ondes électromagnétiques. Chaque couleur correspond à une certaine plage de longueur d'onde. C’est le processus de réflexion ou de transmission des différentes longueurs d'onde qui nous permet de percevoir les couleurs.
Ainsi les couleurs que nous percevons dépendent de la manière avec laquelle elles interagissent avec les objets qui nous entourent. Les formes des couleurs représentées par le braille semblent illustrer de façon poétique leur trajectoire. La couleur est mouvement.
A la lumière unilatérale de l'esprit cartésien, Merleau-Ponty opposait d’ailleurs la force multicolore du monde. Le philosophe fera sienne l'expression de Paul Cézanne "la couleur est le lieu où notre cerveau et l'univers se rejoignent". Les couleurs créent une harmonie du chaos. A la différence de la science qui manipule la nature, la peinture nous permet d'habiter les choses.
C’est ce que semble aussi exprimer la forme des couleurs de F. Vayr.
Secouer l’orthogonalité de Mondrian
F. Vayr a souhaité aussi secouer l’orthogonalité et les couleurs primaires du travail remarquable de Piet Mondrian. Il a souhaité y introduire plus de rondeur, d’humour, de l’acceptation de l’aléatoire. Et de la vie tout simplement. Eclaboussures, postillons, splashs…
F. Vayr revisite l’univers abstrait et universel de Mondrian qui considérait que les couleurs pures et les formes géométriques créent un équilibre et une harmonie qui transcendent la réalité matérielle. Son art a été nommé le néoplasticisme. Ce qui peut faire penser à une sorte de néoplatonisme…
F. Vayr a souhaité aussi secouer l’orthogonalité et les couleurs primaires du travail remarquable de Piet Mondrian. Il a souhaité y introduire plus de rondeur, d’humour, de l’acceptation de l’aléatoire. Et de la vie tout simplement. Eclaboussures, postillons, splashs…
F. Vayr revisite l’univers abstrait et universel de Mondrian qui considérait que les couleurs pures et les formes géométriques créent un équilibre et une harmonie qui transcendent la réalité matérielle. Son art a été nommé le néoplasticisme. Ce qui peut faire penser à une sorte de néoplatonisme…
Exemple d'un cercle vayrtueux qui représente le violet
Dans les Cercles Vayrtueux, F. Vayr interroge dans ses œuvres circulaires la notion de limite. Si ces cercles paraissent reprendre les bases structurelles (colorisées et géométriques) des œuvres de Mondrian, elles en sont en fait l’antithèse fondamentale, par le jeu de l’écriture braille en relief qui met en valeur les couleurs secondaires.
« Ainsi par ce jeu de contre-pied graphique et symbolique, ces œuvres valorisent le métissage à sa juste valeur, sans pour autant occulter les caractéristiques des éléments purs qui lui ont donné naissance ni surtout la dualité et le contact (la relation) qui conditionnent tant de choses dans notre univers et dans nos vies ».
Le hasard créatif
« Ainsi par ce jeu de contre-pied graphique et symbolique, ces œuvres valorisent le métissage à sa juste valeur, sans pour autant occulter les caractéristiques des éléments purs qui lui ont donné naissance ni surtout la dualité et le contact (la relation) qui conditionnent tant de choses dans notre univers et dans nos vies ».
Le hasard créatif
Dans chaque création artistique, il y a toujours une part de hasard. Cézanne s’est un jour demandé si l’originalité de ses œuvres ne provenait pas d’une défaillance oculaire. D’un accident de son corps…
F. Vayr a vécu une expérience similaire, malgré son orthogonalité scientifique. A travers une série de splashs aléatoires à l’encre de chine, F. Vayr a reconnu l’esquisse du visage de Louis Braille. Comme si Louis Braille était reconnaissant de tout ce travail artistique autour de son célèbre code !
Savoir bousculer les valeurs classiquement établies : « ça vaut de l’or ». Voilà un enseignement optimiste et lumineux de F. Vayr. Voir autrement un fond « noir », pour éclairer l’idée que si on décompose le mot « noir », on y trouve le « o » et le « r » de « or ». L’œuvre « De l’or dans le noir » nous rappelle que de l’obscur peut toujours surgir, à qui la chercherait, une lumière inattendue !
F. Vayr a vécu une expérience similaire, malgré son orthogonalité scientifique. A travers une série de splashs aléatoires à l’encre de chine, F. Vayr a reconnu l’esquisse du visage de Louis Braille. Comme si Louis Braille était reconnaissant de tout ce travail artistique autour de son célèbre code !
Savoir bousculer les valeurs classiquement établies : « ça vaut de l’or ». Voilà un enseignement optimiste et lumineux de F. Vayr. Voir autrement un fond « noir », pour éclairer l’idée que si on décompose le mot « noir », on y trouve le « o » et le « r » de « or ». L’œuvre « De l’or dans le noir » nous rappelle que de l’obscur peut toujours surgir, à qui la chercherait, une lumière inattendue !
Pour en savoir plus sur le travail artistique et philosophique de Frédéric Vayr :
Vidéos
2021
Conférence FOR mars 2021 YouTube
https://www.youtube.com/channel/UC_DPV5Jkcb-fgmmBOtAcnaw
2020
Envoyez la couleur / 2020
https://vimeo.com/429340258
2017
LOVE VIEW / 2017
https://vimeo.com/219902830
2016
A la lumière du braille / 2016
https://vimeo.com/197524450
Rétinal stimulation / 2016
https://vimeo.com/210859058
Articles Web
Janvier 2018
« J’attends » / Bleu
https://issuu.com/jattendslenumero1/docs/numero_47
« Acheter de l’Art » / hope
https://achetezdelart.com/frederic-vayr/
Presse
2020 juillet
Télérama Sortir Paris (TT). Bénédicte Philippe (12).
Connaissance des Arts (11)
2018 janvier
Cultur13 : Programme culturel janvier 2017Paris 13ème Arrdt. / Couverture
2017 décembre
Réalités Ophtalmologiques. "A la lumière du braille".
http://www.realites-ophtalmologiques.com/2017/11/27/a-lumiere-braille
Novembre
Le Quotidien du Médecin.
Chirurgien et plasticien. Frédéric Vayr expose à Montrouge. Renée Carton
https://www.lequotidiendumedecin.fr/specialites/ophtalmologie
Juillet
Télérama Sortir Paris (T). Bénédicte Philippe.
Expo in the city. « Les yeux fermés ». Cassandre L’Hermite (3)
Vidéos
2021
Conférence FOR mars 2021 YouTube
https://www.youtube.com/channel/UC_DPV5Jkcb-fgmmBOtAcnaw
2020
Envoyez la couleur / 2020
https://vimeo.com/429340258
2017
LOVE VIEW / 2017
https://vimeo.com/219902830
2016
A la lumière du braille / 2016
https://vimeo.com/197524450
Rétinal stimulation / 2016
https://vimeo.com/210859058
Articles Web
Janvier 2018
« J’attends » / Bleu
https://issuu.com/jattendslenumero1/docs/numero_47
« Acheter de l’Art » / hope
https://achetezdelart.com/frederic-vayr/
Presse
2020 juillet
Télérama Sortir Paris (TT). Bénédicte Philippe (12).
Connaissance des Arts (11)
2018 janvier
Cultur13 : Programme culturel janvier 2017Paris 13ème Arrdt. / Couverture
2017 décembre
Réalités Ophtalmologiques. "A la lumière du braille".
http://www.realites-ophtalmologiques.com/2017/11/27/a-lumiere-braille
Novembre
Le Quotidien du Médecin.
Chirurgien et plasticien. Frédéric Vayr expose à Montrouge. Renée Carton
https://www.lequotidiendumedecin.fr/specialites/ophtalmologie
Juillet
Télérama Sortir Paris (T). Bénédicte Philippe.
Expo in the city. « Les yeux fermés ». Cassandre L’Hermite (3)
Rédigé par Marjorie Rafécas le Dimanche 16 Juillet 2023 à 22:34
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Marjorie Rafécas
Passionnée de philosophie et des sciences humaines, je publie régulièrement des articles sur mon blog Philing Good, l'anti-burnout des idées (http://www.wmaker.net/philobalade), ainsi que sur La Cause Littéraire (https://www.lacauselitteraire.fr). Je suis également l'auteur de La revanche du cerveau droit co-écrit avec Ferial Furon (Editions du Dauphin, 2022), ainsi que d'un ouvrage très décalé Descartes n'était pas Vierge (2011), qui décrit les philosophes par leur signe astrologique.
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